Sophrologue spécialiste accompagnement au Deuil

Deuil

La perte d’un être cher reste pour nous humain une période douloureuse qui nécessite bien souvent un accompagnement, une aide extérieure. Face au déluge émotionnel qui s’en suit, tristesse, chagrin, inquiétude, angoisse, anxiété voire colère et rage, l’être humain peut se sentir vite démuni jusqu’à l’impuissance. De jour comme de nuit les émotions le submergent, l’insomnie, l’épuisement le guette. la sophrologie, aide l’endeuillé/e à tourner son regard vers le futur pour un nouveau départ, à son rythme bien sûr, allégeant ainsi le travail de deuil qui reste personnel à chacun en intensité, en temps et en heure

Lors de la perte d’un être cher, une personne est soumise à différentes phases regroupées sous le terme de deuil. À quoi sert un deuil "normal" ? Qu'est-ce qu’un deuil compliqué ? Un deuil pathologique ? Comment repérer ce dernier ?

Fonction du deuil "normal"

Le deuil, perte par décès d’une personne proche de nous, est une expérience universelle. Il met à mal nos défenses psychologiques, qui nous servent, d’habitude, à nous protéger des agressions extérieures. Le manque causé par la disparition représente une grande souffrance. Le "travail de deuil",  intervient alors. Ce travail permet à son issue, d’accepter la disparition d’un être cher et de se reconstruire par l’investissement progressif d’autre sphère sociale ou centres d’intérêt. Pour d’autres théoriciens, le deuil est le résultat de la perte réelle de l’attachement, c'est-à-dire du lien mental qui unit deux personnes dans une relation. L’anxiété que cela génère conduit à faire un travail de modification de ce lien et à accepter la mort de l’autre. De façon générale, la personne endeuillée cherche avant tout à donner un sens à la perte qu’elle a subie. Cela passe par le langage, les pratiques culturelles ou religieuses et les interactions sociales qui aident à sortir de la phase de tristesse.

Deuil un processus pas un état

Le deuil compliqué est un deuil composé des mêmes phases, mais qui dure beaucoup plus longtemps. Ce n’est pas un deuil pathologique, mais il témoigne de difficultés psychologiques et affectives. En général, il se caractérise par une forte culpabilité chez la personne endeuillée, mais il peut aussi présenter d’autres signes

. Deuil pathologique Un deuil est pathologique si, et seulement si, après la perte de la personne qui nous été signifiante, il y a apparition de trouble ou de symptôme psychopathologiques là où avant, il n’y en avait pas.

Les symptômes ou troubles présents dans les deuils pathologiques sont multiples et ne sont pas toujours tous présents. Ils peuvent aussi varier en fréquence et/ou en intensité. Nous distinguons particulièrement : •

Épisode dépressif majeur :

caractérisé par une grande tristesse, des pleurs fréquents et incontrôlables et un sentiment de désespoir ; •

Délire : notamment autour de la construction d’un sens erroné, illogique ou incompréhensible pour justifier la perte de l’être cher ; •

Alternances d’états d’excitation et de phase de tristesse ; •

Développement des mêmes symptômes que le mort si ce dernier était malade ou l’apparition de pathologie fortement liée au stress (ulcère chronique, cancer… ) ; •

Survenue de conduite addictive comme la toxicomanie, l’alcoolisme, la prise de certains médicaments... ; • Culpabilité généralisée, c’est à dire dépassant de loin les actes commis ou non par la personne endeuillée à l’encontre de la personne décédée ; •

Hallucinations de la voix du défunt ou de son image avec la conviction que la personne est toujours présente. Il existe de nombreux autres symptômes dans les deuils pathologiques.

Ces derniers dépendent de la personnalité du sujet endeuillé et de ses capacités d’adaptation. Toutefois, si jamais vous repérez ces signes chez quelqu’un de votre entourage, n’hésitez pas à lui conseiller de voir un sophrogue spécialiste du deuil qui pourra l’aider à traverser cette période difficile. En effet, ne pas prendre en charge un deuil pathologique risque de rendre chronique le mal-être de la personne.

le sophrologue n’est pas un médecin. Certaines pathologies peuvent nécessiter un suivi médical ou psychologique auxquels la pratique de la Sophrologie ne saurait en aucun cas se substituer. Ces différents suivis peuvent néanmoins s’effectuer conjointement..

Derniers commentaires

18.04 | 14:14

Bonjour Madame et chere collègue,
Comment allez-vous?
Prenez soin de vous!
Christian COUSSON
Association Méditerrannee SPORT SANTE BIEN ETRE
W-U-K-F FRANCE
Référent
KARATE SANTÉ
KARATE ADAPTE

16.12 | 07:22

La soufrologie m'a aider à me retrouver avec moi même tous simplement être en harmonie entre la tête et le reste de mon corps. Un grand merci à Mme Lefevre pour son accompagnement.

11.10 | 22:43

fuchsia

21.09 | 06:19

enterprise

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